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Plus belle la vie en avance : La commissaire nie avoir tué Marco Rossi, la fille du défunt veut se venger ! Le résumé de l’épisode 160 du lundi 2 septembre 2024

Dans l’épisode 160 de Plus belle la vie, encore plus belle, la commissaire passe aux aveux après les révélations autour du coup de feu qui a atteint Thomas. Mais cette dernière nie avoir tué Rossi !

Dans l’épisode de Plus belle la vie du lundi 2 septembre, d’ores et déjà disponible en streaming… Pendant que Nebout et Ariane interrogent la commissaire, au Mistral, Thomas se dit soulagé d’avoir appris le fin mot de l’histoire. Mais Samuel souligne que si la commissaire a tenté de tuer Rossi, rien ne prouve que c’est elle qui l’a refroidi à sa sortie de prison. Kilian et Thomas restent sans voix. Plus tard, Aya, mal à l’aise, aborde un sujet délicat avec Kilian : elle n’a pas été payée au mois d’août. Kilian promet d’en parler à son frère, qui gère ce genre de choses. Aussitôt dit, aussitôt fait, mais Thomas n’a pas le temps de s’en occuper et délègue la lourde tâche à son frère. Comme il s’y attendait, il ne s’en sort pas. Kilian s’arrache les cheveux en découvrant l’enfer de l’administration !

Plus belle la vie en avance : la commissaire passe aux aveux

Nebout et Ariane auditionnent la commissaire en salle d’interrogatoire. Ils veulent évoquer le décès du père de celle-ci dont feu Mario Rossi était le manager. Elle avait 12 ans quand il est décédé. Une blessure qui n’a jamais cicatrisé. « Il [son père] n’aurait jamais dû combattre ce jour-là », commence la commissaire avant d’expliquer que Rossi avait misé sur son adversaire. Elle ne s’attendait pas du tout à le croiser à la fête organisée par la mairie. Elle l’a confronté mais Rossi a fait mine de ne pas se souvenir.
D’après les fadettes, la commissaire a appelé sa mère pour lui faire part de sa rencontre. C’est à ce moment-là que la commissaire, dans un état second, a vu le policier évanoui et a ramassé son arme. Anéantie, la commissaire s’effondre, en larmes. Elle raconte alors le déroulement des événements : quand elle s’est rendu compte de ce qu’elle venait de faire, elle était horrifiée. Après avoir effacé ses empreintes et appelé les secours, elle a repris son rôle ni vu ni connu.
Si elle reconnaît les faits sans sourciller et avoue avoir truqué la photo, elle assure ne pas avoir tué Rossi. « Ne soyez pas ridicule commissaire, tous les trois on sait que c’est vous », lui balance Ariane, certaine qu’elle a agi par vengeance. « Je suis coupable de tentative de meurtre, sans préméditation. En revanche, je nie toute responsabilité dans son assassinat. »

Plus belle la vie en avance : la fille de Rossi promet de se venger

Sans preuve, les policiers sont dans une impasse. Si Samuel et Nebout sont sensibles au sort de leur boss, Ariane est persuadée de sa culpabilité et veut retourner « la cuisiner ». De retour en salle d’interrogatoire, Ariane bombarde la commissaire de questions. Celle-ci à réponse à tout, notamment sur ce qu’elle faisait à l’heure du crime. Le bornage de son téléphone la situe chez elle, mais elle aurait pu volontairement l’y laisser, suppose Nebout. Des témoins l’ont-ils vue quitter son domicile ? A-t-elle été aperçue sur les lieux de la tragédie ? Des caméras de sécurité ont-elles enregistré sa présence dans le secteur ? demande à son tour la commissaire. « Vous mieux que personne savez déjouer tous ces pièges », lui rétorque Ariane dont la moutarde monte au nez. Pas suffisamment pour impressionner la commissaire, qui clame à nouveau son innocence. En sortant menottée de la salle d’interrogatoire, une jeune femme interpelle la commissaire. Il s’agit de la fille de Rossi : « Vous paierez pour ce que vous avez fait. Je me vengerai », lui dit-elle.

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