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Plus belle la vie en avance : Ariane arrêtée pour le meurtre de Durieux… Le résumé de l’épisode 344 du vendredi 30 mai 2025

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La semaine finit mal pour Ariane, arrêtée pour le meurtre de Durieux. Barbara aussi risque de passer un sale week-end, inquiète pour Louis. Des événements à découvrir dans l’épisode de Plus belle la vie du vendredi 30 mai.

Dans l’épisode 344 de Plus belle la vie, encore plus belle, diffusé ce vendredi 30 mai 2025 et déjà disponible sur TF1+… Alors qu’il ausculte Mirta pour une douleur au pied, Riva est dérangé par un patient qui fait un esclandre. Celui-ci veut absolument voir Léa. Riva débarque dans la salle d’attente et calme le jeu : « On va tous se calmer et prendre une grande et profonde inspiration. Un souffle régulier aide à faire redescendre la tension nerveuse. » Contre toute attente, ledit patient se calme. Riva jette alors un œil à ses analyses et le rassure. Tout ça devant une Babeth, médusée.

Plus belle la vie en avance : Babeth surprise par le changement de Riva

Auprès du patient, Gabriel prend la défense de Babeth, expliquant qu’elle est « très compétente ». Gabriel explique que Legendre « a juste besoin d’être rassuré. Je considère que ça fait aussi partie de mon boulot. » L’infirmière est littéralement stupéfaite ! Plus tard, au Mistral, Babeth manque de tomber de sa chaise en apprenant que Gabriel fait désormais des visites à domicile ! Et alors quand il dit à Thomas de tout mettre sur sa note, Babeth lui demande carrément ce qu’il lui arrive ! « Rien de spécial, répond-il. […] Je n’ai pas assez l’occasion de le dire mais c’est un plaisir de travailler avec vous au cabinet. » Thomas et Babeth sont… scotchés et s’accordent à dire que ce n’est pas le Gabriel qu’ils connaissent !

Plus belle la vie en avance : Louis prévient Barbara qu’il va bientôt être en délicatesse avec la police

Louis débarque dans la cuisine du Mistral avec un bouquet de jonquilles pour Barbara, qui l’excuse de son retard de la veille. Il s’en veut de ne pas avoir été de bonne compagnie et raconte sa prétendue course. « Le boulot, c’est le boulot », comprend la jeune femme. Plus tard, Louis avoue à Barbara qu’il n’était pas avec un client. Il lui explique alors que quelqu’un lui a demandé un gros service, de ceux qui ne restent pas sans conséquence. Il avoue qu’il va devoir mentir à la police mais qu’il ne peut pas refuser. Il ne veut surtout pas lui en dire davantage afin de ne pas l’impliquer. Si l’intention est bonne il n’en fallait pas moins à Barbara pour s’inquiéter. Louis lui avoue tout ça car il ne veut pas lui mentir : « Dans les prochains jours, tu vas entendre des choses sur moi, je veux que tu me promettes de pas les croire. Il faut que tu me fasses confiance. Ça me rendrait dingue de te perdre à cause de ça. Je suis amoureux de toi Barbara ! » Touchée, elle promet d’essayer.

Plus belle la vie en avance : Ariane suit une piste

Boher ne peut pas croire qu’Ariane a fait la peau à Durieux : « Tu penses qu’elle serait assez con pour laisser une preuve pareille derrière elle ? » Si Nebout est du même avis, cet indice associé au témoignage du voisin joue contre elle. « Elle a un mobile », rappelle le commissaire. Boher ne veut rien entendre. « Tu veux prouver qu’Ariane est innocente et moi aussi. Mais on fait ça correctement. Je n’ai pas envie de me taper encore l’IGPN », assure Patrick. Boher va faire borner le téléphone de son amie.
Au Mistral, Ariane est rejointe par Charlotte, venue lui dire qu’elle identifiait l’arme dans l’affaire de la tentative de meurtre de la juge Colbert. Les deux femmes concluent que le tireur était un amateur et non un professionnel. Ariane s’en va ensuite voir un armurier pour le questionner à propos de l’arme identifiée par Charlotte. Celui-ci lui explique que pour trouver ce genre de pistolet semi-automatique sans le déclarer il faudrait que le type « s’adresse à un spécialiste ou un collectionneur peu scrupuleux prêt à ne pas déclarer la vente ». Il lui indique alors le nom d’une brocanteuse.

Plus belle la vie en avance : L’étau se resserre autour d’Ariane

De son côté, Boher fait un rapport à Patrick : il explique que les téléphones d’Ariane et Durieux bornaient au même endroit, et cela jusqu’au vendredi matin dans la rue de la garçonnière du procureur. La tuile ! Boher cherche une explication mais, selon Patrick, celle-ci « ne tient pas debout ». Jean-Paul cherche alors une autre justification : « Ils picolent. Durieux lui propose de boire un dernier verre chez lui. Il tente de la violer, elle se défend : légitime défense. » Ça ne colle toujours pas pour Patrick : « Dans ce cas-là, elle serait venue nous le dire dès le lendemain matin ! » Boher lui rappelle que lorsqu’Ariane en avait parlé, personne ne l’avait crue. Il pense qu’elle enquête de son côté ou selon Patrick, « elle brouille les pistes. » Boher s’agace et Nebout explique être dans le camp de la justice. Pas question cependant « de l’interpeller comme une vulgaire prévenue ». Patrick préfère la faire venir sous un prétexte. Boher ne voulant pas s’en charger, Patrick contacte Ariane. Celle-ci explique être sur une piste mais Nebout lui ordonne de rappliquer !

Plus belle la vie en avance : Ariane arrêtée pour le meurtre de Durieux

En arrivant au commissariat, Ariane tombe sur sa fille qui lui rappelle leur dîner. « Je pense pas que je vais pouvoir », lui dit-elle avant de lui assurer son amour. Zoé comprend, au ton de sa mère, qu’il se passe quelque chose. « Tu rentres à la maison et surtout tu ne t’inquiètes pas. Je t’aime ma fille », avant de se rendre au commissariat telle une condamnée marchant vers l’échafaud. « On sait que t’étais avec Durieux. On a fait borner vos téléphones », lui balance d’entrée de jeu Patrick. Ariane jure qu’elle n’était pas avec lui. « Je n’ai jamais été soutenue. Jamais », balance-t-elle à tous ses collègues. Elle s’en prend à Boher mais c’est Nebout qui l’achève : « Ariane, je t’arrête pour le meurtre d’Emmanuel Durieux. »

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