La semaine touche à sa fin dans Ici tout commence. Dans l’épisode de vendredi 15 novembre, Coline prend son courage à deux mains, Rose tourne une page sentimentale, et Anaïs perd connaissance dans les cuisines du Double A.
Dans l’épisode d’Ici tout commence du vendredi 14 novembre… Constance et Rose prennent leur café matinal ensemble. L’infirmière apprend que Rose a prévu de déjeuner au Double A avec Paul. Elle n’est pas certaine de vouloir reprendre le cours de leur histoire. D’autant que Marc fait désormais partie de l’équation même si celle-ci ne sait pas trop ce qu’elle ressent. Le chef Leroy débarque pile à ce moment et propose à Rose de déjeuner avec elle. Prise de court, elle prétexte un déjeuner avec Constance. Mise devant le fait accompli, celle-ci va dans le sens de son amie : « C’est un déjeuner hebdomadaire entre filles et on ne décale jamais. » Pas grave, ce n’est que partie remise.
Ici tout commence en avance : Paul, le conquérant éconduit
Attablée au Double A avec Paul, Rose comprend que celui-ci lui fait une étonnante proposition : « Si t’es prête à reprendre notre histoire, je m’installe ici. »
Plus tard, Rose raconte son déjeuner à sa sœur, qui l’encourage à donner une chance à Paul mais Rose a « peur de prendre la mauvaise décision ». Clotilde lui conseille de se faire confiance. Résultat, Rose fait comprendre à Paul que quelqu’un d’autre occupe ses pensées. Il accuse le coup avec élégance. Avant de partir, les anciens amants s’étreignent. Marc les aperçoit… sans être vu.
Ici tout commence en avance : Coline veut quitter l’Institut
Convoquée dans le bureau de Teyssier, Coline n’en mène pas large. Elle justifie son absence à son cours en expliquant qu’elle a dû aider sa mère à la ferme. Si Antoine se montre compréhensif, Teyssier est inflexible. Il ne tolèrera plus aucune absence et veut qu’elle soit désormais la première arrivée et la dernière partie. Un soulagement pour la jeune femme qui s’imaginait punie ou, pire, renvoyée.
Quand sa mère lui demande comment s’est passé son entretien avec son patron, Coline explique qu’elle ne doit plus s’absenter au risque de se faire virer. Sa mère lui avoue ne pas être certaine de pouvoir conserver leur ferme, proche de la banqueroute. Elle demande à sa fille si elle peut essayer d’obtenir un mi-temps, le temps de sortir la tête de l’eau. Coline promet de voir ça avec son « patron ».
« Je crois que je n’ai pas le choix, il faut que j’arrête les cours », dit Coline, l’âme en peine, à Bérénice et Carla, qui tentent de l’en dissuader et lui conseillent plutôt de dire la vérité à sa mère. « Tu vas rester longtemps ici [à L’institut], tu seras obligée de lui dire au bout d’un moment. Autant le faire maintenant », insiste Bérénice avec douceur.
Coline a donné rendez-vous à sa mère devant l’Institut. Sa fille se lance et lui avoue avoir intégré la prestigieuse école. Comme elle s’y attendait, sa mère le prend très mal. Contre toute attente, Coline peut compter sur le soutien de sa cousine.
Ici tout commence en avance : Anaïs perd connaissance
Ce matin à la coloc, Vic remarque le visage tuméfié d’Anaïs et ne croit pas aux explications de son amie et pense plutôt que Milan l’a frappée ! Celui-ci voit rouge et explique alors qu’il a connu l’agresseur d’Anaïs en prison. « C’est pour ça qu’elle [Anaïs] n’a rien dit », éructe-t-il. Malgré ces explications, Vic met en garde le jeune homme : s’il tient un tant soit peu à elle, il doit la laisser tranquille. Enzo est sur la même longueur d’ondes que Vic.
En apprenant l’agression d’Anaïs, Teyssier voit rouge aussi. Constance, qui a ausculté la jeune femme, l’autorise à reprendre le travail mais la prévient : « Quand il y a un traumatisme crânien, les signes peuvent arriver plus tard », précise l’infirmière en lui conseillant quand même d’aller à l’hôpital faire des examens plus approfondis. Mais Anaïs ne veut rien entendre et retourne à son menu.
C’est la panique dans les cuisines du Double A : Anaïs et Milan ne sont pas là. Une absence qui inquiète Vic, Léo mais aussi Billie. Quand enfin ils arrivent, la tension est palpable. La cheffe Grimbert met les points sur les i avec sa brigade quant à son agression et réhabilite Milan avant que les rumeurs ne l’accusent. Plus tard, Teyssier valide les préparations d’Anaïs, mais après ça, la jeune femme est terriblement gênée par des bruits normalement anodins. Si elle fait mine de rien, elle s’effondre dans les bras de Milan et perd connaissance.
